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L'étude du Cours en Miracles (UCEM) est-elle obligatoire ?

Je comprends très bien que cette question peut choquer, et que le fait même de la poser peut paraître péremptoire, voire provoquant, vis-à-vis des autres enseignements spirituels.

 

Mais c’est une question que tout chercheur de Vérité, qui découvre le Cours, peut se poser !

 

D’autant plus que l’auteur du Cours n’y va pas de mains mortes, car dès l’introduction générale de la partie « Textes » du Cours en Miracles, l’étudiant peut lire :

Cours en Miracles Editions OCTAVE.PNG

« Ceci est un cours en miracles. C'est un cours obligatoire. Seul

le moment où tu le suis relève de ta volonté. Une volonté libre ne

signifie pas que tu peux établir le curriculum. Cela signifie

seulement que tu peux choisir ce que tu veux suivre à un moment

donné. »

Voilà une introduction qui ne manque pas de piquants et qui risque d’outrager bien des egos !

 

D’autant plus, qu’on trouve au chapitre 16, l’affirmation suivante de l’auteur du Cours :

" La décision d'écouter ou non ce cours et de le suivre ou non, n'est que le choix entre la vérité et l'illusion."​

 

(Extrait du Cours en Miracles - Chapitre 16 - Section V - paragraphe 16)

Voilà qui ne semble pas trop laisser de doute, dans l’esprit de l’auteur, sur l’utilité du Cours.

 

Toutefois, on peut trouver à un autre endroit du Cours, une affirmation qui paraît opposée à ces deux citations :

« Ceci est le manuel d'un curriculum particulier, destiné aux

enseignants d'une forme particulière du cours universel. Il y a

plusieurs milliers d'autres formes, qui ont toutes le même résultat.

Elles ne font qu'épargner du temps. »

 

(Question 1 du Manuel pour Enseignants – 4)

Alors, où se situe la vérité ?

 

Très simplement dans la distinction entre le fond et la forme de l'enseignement :

Il y a un cours pour chaque enseignant de Dieu. La forme du

cours varie grandement. Ainsi que les différents aides à l'enseignement. Mais le contenu du cours ne change jamais. Son

thème central est toujours :

« Le Fils de Dieu est non coupable et dans son innocence est son salut. »

 

Il peut s'enseigner par des actions ou par des pensées; en mots ou en silence; dans n'importe quelle langue ou en aucune langue; n'importe où, quand ou comment. Peu importe qui était l'enseignant avant d'entendre l'Appel. Il est devenu un sauveur en répondant. Il a vu quelqu'un d'autre comme étant lui-même. Il a donc trouvé son propre salut et le salut du m o n d e . Dans sa renaissance le monde est né à nouveau.

 

(Question 1 du Manuel pour Enseignants – 3)

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